lundi 15 juillet 2013

Mon enfant n'est pas un veau !

Pourquoi lui donner du lait de vache alors ?

L'homme est en effet le seul mammifère à consommer le lait d'une autre espèce, et ce, même après le sevrage. Avez-vous déjà vu une vache adulte en téter une autre ? À ceux qui considère cela comme un progrès et une marque d'intelligence, je répondrai que la nature a toujours raison...

Et la nature fait bien les choses :
- au veau, le lait riche en protéines (3 fois plus que dans le lait maternel) et en facteurs de croissance pour fabriquer quelques centaines de kilo d'os et de muscles en quelques mois (à 1 an, le veau pèse environ 300 kg !) ;
- au bébé, le lait riche en lactose (2 fois plus que dans le lait de vache) et en acides gras essentiels pour qu'il se construise un cerveau évolué (2 fois plus rapidement que chez le veau).

Imaginez, si vous substituez le lait de vache au lait maternel, le bébé sera bien joufflu et costaud, mais cela l'aidera-t-il vraiment pour son développement cérébral ? sachant que le début de sa vie n'est fait que d'apprentissages psychomoteur, langage, minutie, compréhension... et que rien ne presse pour son squelette. De plus, l'excès de protéines auquel il sera confronté risque d'irriter sa muqueuse digestive, engorger son foie et solliciter de façon excessive ses reins.

Certes l’enfant a besoin de sucre (ici le lactose) pour développer son cerveau jusqu’à environ 3 ans. A partir de cet âge, il n’est plus nourrisson et n’a donc plus besoin d’être « nourri au sein » comme le précise l’étymologie. Ce n’est pas un hasard si ¾ de la population mondiale est intolérante au lactose à l’âge adulte. Notre organisme ne produit plus la lactase, car elle n’est normalement plus nécessaire… Une étude américaine rapporte que 25 millions de nourrissons élevés sans lait de vache ont affiché une croissance normale et aucun problème de malnutrition. Dans ce cas, on a utilisé des substituts au lait de vache, intéressants vu la composition des laits industriels (cf article suivant).

Vient souvent la question du calcium... 

Le lait de vache en contient 3 fois plus que le lait maternel. Un excès inutile puisque moins d'1/3 est absorbé dans l'intestin du nourrisson, à cause de la trop grande quantité de phosphate et de l'alcalinisation du milieu.
D'autre part, le fer qu'on y trouve n'est pas bien assimilé et le taux de sodium est trop importante, provoquant rétention d'eau et élévation de la tension artérielle.
Déficit en calcium et en fer, surplus de phosphate et de sodium, le lait de vache n'est donc pas la panacée pour les bébés... Laissons-le aux veaux !

NB : Le lait maternisé ou lait infantile est un lait artificiel fabriqué à partir de lait de vache le plus souvent. Il en existe maintenant à base de lait de riz ou d'amande. Ces alternatives sont présentées dans un autre article.

mercredi 10 juillet 2013

Les médecins contre l'aluminium des vaccins

Eh oui ! Même les médecins considèrent les vaccins actuels comme nocifs, notamment lorsqu'ils contiennent de l'aluminium.
Deux organismes rassemblant des médecins - RES (Réseau Environnement Santé) et CNMSE (Coordination Nationale Médicale Santé Environnement) - ont lancé une pétition adressée à la ministre de la Santé demandant la mise à disposition de vaccins sans aluminium pour protéger la santé des enfants.

Il était possible de trouver le vaccin DTP
sans adjuvant à base d'aluminium jusqu'en 2008. Depuis, les Français n'y ont plus accès, alors qu'il est le seul obligatoire pour les jeunes enfants entrant en collectivité (crèche, école). 



Pourquoi la présence d'aluminium dans les vaccins est-elle grave ?

L'aluminium est reconnu comme neurotoxique par de multiples études. Loin d'être évacué par voie urinaire comme on le pensait, l'hydroxyde d'aluminium injecté en intra-musculaire migre pour partie vers le tissu cérébral. L'Académie de Médecine reconnait les risques de toxicité de doses excessives d'aluminium vaccinal.

Le rôle nocif de l'aluminium pourrait expliquer un large spectre de pathologies mal connues et
sous-diagnostiquées (
myofasciite à macrophages, fibromyalgie, syndrome de fatigue chronique, syndrome de la guerre du Golfe).

La Pharmacovigilance émet des recommandations d'extrême prudence vis-à-vis de l'exposition chronique à l'aluminium des déodorants, en expliquant que "les marges de sécurité calculées sont insuffisantes, ne permettant pas d'exclure un risque pour la santé du consommateur". Paradoxalement, l'aluminium vaccinal ne mérite pas les mêmes précautions...!

Les médecins se mobilisent pour que l'engagement pris par Marisol Touraine pendant la campagne présidentielle soit respecté : "
[les familles] doivent avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d'aluminium, d'autant plus que cela était le cas jusqu'en 2008".